histoire

donc voilà ce que je vous propose... chacun(e) ecrit une phrase, qui doit faire suite à la phrase qui aura été ecrite précédemment, dans le but d'écrire une histoire cohérente, et - on peut rever - passionnante!!

chacun est libre de faire prendre aux choses la tournure dont il a envie, mais il faudra tenter de se souvenir des lieux, personnages, et détails "fixes" de l'histoire qui ne peuvent etre changés. (exemple : la normandie ne va pas devenir l'italie, donc respecter la cohérence, et si on a paul dans l'histoire, il ne va pas devenir hélène, à moins d'un changement de sexe à l'hopital dans le fil de l'histoire...).

une phrase, c'est une phrase... exemple : "Hélas!" ça compte pour une phrase, meme si c'est un seul moment. "hélas, marcel était malade!", ça fait une phrase aussi...

je commence, à vous la suite.

Il faisait froid ce matin dans la montagne.

La neige était tombée toute la nuit.

On apercevait une silhouette se déplaçant lentement entre les arbres, fluide, et légère, comme planant au-dessus du sol.

C'etait une louve qui cherchait en vain une proie ....

Cette vision intrigua Adrien le vieux montagnard.

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Hé les filles ! après on publie le roman, à défaut de faire fortune dans l'élevage on peut rêver que ça se produise dans la littérature

Il y avait bien des années que les loups avaient déserté ces montagnes.

alors, adrien prend son fusil par prudence est va voir de plus prés ceux qui se passe.

A un versant de là, Olgha marchait dejà depuis des jours dans ces montagnes qu'elle ne connaissait pas, sa Slovénie natale lui manquai un peu; mais pour le moment elle ne connait que la faim qui lui tenaille le ventre, et cette odeure qu'elle piste est de moin en moin lointaine ...

Un coup de feu vient percer le silence de l'aube!

(Je crois que ça se passe le matin)

(oui voilà c'est changé! pfffff)

Rien ne bougea, on entendait que l'écho de la déflagration.

(Tu pourras pas dire que je ne suis pas, lol !!!
Tiens maintenant je suis belle plante , c'est quoi la suite ?)

et dans le silence, des bruits de pas et ensuite des bruits de course se font entendre.

Sur l'autre versant, Olgha s'immobilisait, les sens en alerte, pendant la course d'Adrien à travers les brumes matinales.

La louve pressa le pas, fichu humain, encore une largeur de patte et il lui aurait presque cassée, mais ce n'est qu'un peu de sang et de fourure; domage, ils avaient l'air bon ces herbivores a la fourure creme.

je récapitule :

Citation :

Il faisait froid ce matin dans la montagne. La neige était tombée toute la nuit. On apercevait une silhouette se déplaçant lentement entre les arbres, fluide, et légère, comme planant au-dessus du sol. C'etait une louve qui cherchait en vain une proie .... Cette vision intrigua Adrien le vieux montagnard.

Il y avait bien des années que les loups avaient déserté ces montagnes. alors, adrien prend son fusil par prudence est va voir de plus prés ceux qui se passe.

A un versant de là, Olgha marchait dejà depuis des jours dans ces montagnes qu'elle ne connaissait pas, sa Slovénie natale lui manquai un peu; mais pour le moment elle ne connait que la faim qui lui tenaille le ventre, et cette odeure qu'elle piste est de moin en moin lointaine ...
Un coup de feu vient percer le silence de l'aube!
Rien ne bougea, on entendait que l'écho de la déflagration.
et dans le silence, des bruits de pas et ensuite des bruits de course se font entendre.

Sur l'autre versant, Olgha s'immobilisait, les sens en alerte, pendant la course d'Adrien à travers les brumes matinales. La louve pressa le pas, fichu humain, encore une largeur de patte et il lui aurait presque cassée, mais ce n'est qu'un peu de sang et de fourure; domage, ils avaient l'air bon ces herbivores a la fourure creme.

L'odeur du sang de la louve arrivait maintenant aux narines d'Olgha, l'excitant, et elle commença à se diriger vers l'autre côté de la montagne, ses 300 kg se frayant sans probleme un passage parmi les arbres.

En bas; dans le village, la déflagration résonnait encore.Tout le monde se réveillait frileusement.

Cosmes , sous sa couette, se réveilla en sursaut, il était trop tôt pour les chasseurs. Hier son père avait parlé des gens quiq passaient la frontière, des gendarmes alpins devaient venir en renfort à ceux du village. l espagne était proche à vol d oiseau, mais par ces temps d hiver il ne passait plus grand monde par là haut . que se passait-il donc là haut.
Aujourd hui c était mercredi, et cet apres midi il irait voir avec Louis et Estian, faudra pas se faire voir car les parents n aimaient pas qu on monte la haut en temps de neige......

(j'ai dit une phrase et v'là qu'elle me pond un chapitre en une fois!! ah la la les suisses je vous jure!)

Citation :

Il faisait froid ce matin dans la montagne. La neige était tombée toute la nuit. On apercevait une silhouette se déplaçant lentement entre les arbres, fluide, et légère, comme planant au-dessus du sol. C'etait une louve qui cherchait en vain une proie .... Cette vision intrigua Adrien le vieux montagnard.

Il y avait bien des années que les loups avaient déserté ces montagnes. alors, adrien prend son fusil par prudence est va voir de plus prés ceux qui se passe.

A un versant de là, Olgha marchait dejà depuis des jours dans ces montagnes qu'elle ne connaissait pas, sa Slovénie natale lui manquai un peu; mais pour le moment elle ne connait que la faim qui lui tenaille le ventre, et cette odeure qu'elle piste est de moin en moin lointaine ...
Un coup de feu vient percer le silence de l'aube!
Rien ne bougea, on entendait que l'écho de la déflagration.
et dans le silence, des bruits de pas et ensuite des bruits de course se font entendre.

Sur l'autre versant, Olgha s'immobilisait, les sens en alerte, pendant la course d'Adrien à travers les brumes matinales. La louve pressa le pas, fichu humain, encore une largeur de patte et il lui aurait presque cassée, mais ce n'est qu'un peu de sang et de fourure; domage, ils avaient l'air bon ces herbivores a la fourure creme.


L'odeur du sang de la louve arrivait maintenant aux narines d'Olgha, l'excitant, et elle commença à se diriger vers l'autre côté de la montagne, ses 300 kg se frayant sans probleme un passage parmi les arbres.

En bas; dans le village, la déflagration résonnait encore.Tout le monde se réveillait frileusement.

Cosmes , sous sa couette, se réveilla en sursaut, il était trop tôt pour les chasseurs. Hier son père avait parlé des gens quiq passaient la frontière, des gendarmes alpins devaient venir en renfort à ceux du village. l espagne était proche à vol d oiseau, mais par ces temps d hiver il ne passait plus grand monde par là haut . que se passait-il donc là haut.
Aujourd hui c était mercredi, et cet apres midi il irait voir avec Louis et Estian, faudra pas se faire voir car les parents n aimaient pas qu on monte la haut en temps de neige......

S'habillant hativement, ses cheveux noirs en bataille, il descendit vite fait à la cuisine prendre un petit déjeuner copieux, en prévision d'une journée qui s'annonçait chargée.

bah la phrase alors je la fais a la Camus ( du genre 15 pages)


A la cuisine la converstion allait bon train, c est vrai que dans ce petit village un rien prenait vite son importance, tout le monde parlait en même temps, commentant à qui mieux mieux ce qui pouvait s être passé,même Philippinne, sa grande soeur plus interessée par son apparence, s était jointe à la conversation; pour l instant point d explication uniquement des supputations , pour le père c était des passeurs qui s étaient fait courser, pour la maman un ours ou peut être autre chose, pour Philippinne un maladroit!!